#8 « L’impro au 18e siècle. » Avec Christophe Tournier (Riccoboni, Gozzi, Desboulmiers, et d’autres…)

Titre alternatif : « On acquiert que difficilement le talent de savoir se taire. »

Dans le cadre de l’écriture de son premier roman, Christophe Tournier s’est livré à des recherches approfondies sur le théâtre.

Il s’en tire avec, à la main, des textes rares, qui résonnent d’une manière étonnamment actuelle.

Suite de l’épisode 7 où il était question du 17e, changement de siècle, autre époque, autres auteurs….

#7 « L’impro au 17e siècle. » Avec Christophe Tournier (Molière, Gherardi, et d’autres.)

Glisser dans les DM. Voilà un expression très 21esiècle. Traduction : Envoyer un petit mot en privé. Finalement, rien que de très commun.

Christophe Tournier a donc glissé dans mes DM. Voilà un bout de temps que je vous incite en fin d’émission à m’écrire si vous avez quelques textes à lire et autour desquels nous pourrions discuter un moment. Et le premier à le faire, c’est Christophe Tournier.

Alors, je ne vous cache pas que les premières secondes à l’ouverture de mon mail ont été teintées d’incrédulité.

Ecriture(s) de plateau #3 « Ne sois pas original. » avec Antoine Gaudin (Keith Johnstone – IMPRO)

Aujourd’hui, pour la première fois dans ce podcast, ce n’est pas moi qui ai choisi les textes que nous allons vous lire, mais un invité . Un invité qui a bien voulu répondre à cette question : Est-ce qu’il y a un texte qui te paraît particulièrement éclairant dans ta pratique de l’improvisation ? Ou un texte qui te guide ?

Et c’est lui qui a suggéré « Impro », de Keith Johnstone.

Ecriture(s) de plateau #1 « L’impro, c’est nul » Mark Jane -Jeux et Enjeux.

Avec son ouvrage « Jeux et enjeux : La boîte à outils de l’improvisation théâtrale.» paru en 2018 aux éditions Dixit, Mark Jane nous propose un gros livre en 3 parties.
Le texte que je vous propose aujourd’hui est un extrait de l’avant propos. Il m’a effectivement paru intéressant de commencer ce podcast par une tentative de définition, de caractérisation de l’impro.

Et c’est ce que fait Mark Jane ici, en réponse à un billet de blog qui expliquait que l’impro c’est nul.